Parfois, j'entends sa voix et je ne peux plus m'en détourner.
Parfois, elle me manque si fort que je ne peux plus arrêter d'y penser.
Parfois, je vois passer ses petits cheveux devant la fenêtre du jardin et j'ai juste envie d'y passer mes doigts.
Parfois, je ramasse un de ses jouets alors qu'elle est couchée et une envie de petit cou tout chaud me monte au cerveau.
Parfois, je me promène et je me dis que cela lui plairait de venir se promener aussi par ici.
Parfois, j'ai très peur pour elle mais j'essaie de vivre avec.
Parfois, elle m'énerve quand je suis fatiguée ou débordée de travail mais elle n'y est pour rien et ne doit pas tout comprendre.
Parfois, je la regarde et je me demande comment elle sera quand elle sera plus grande.
Parfois, je me laisse aller à imaginer ce qu'elle pourra faire plus tard, mais rien ne me vient vraiment, elle choisira elle-même.
Parfois, j'entends son papa qui la gronde parce qu'elle fait des bêtises (elle vide le rouleau de papier toilette là tout de suite) et je souris parce que cela ne dure jamais.
Parfois, ses petits pieds martèlent le plancher au dessus de ma tête et je me dis que je ne me lasserai jamais de ce petit bruit.
Parfois, je me demande si un deuxième enfant serait aussi aimé, s'il aurait une place parmi nous.
Parfois, je range ses jouets le soir et je me dis qu'elle est épuisante quand même mais on ne s'en passerait plus.
Parfois, je lui achète des petits vêtement en l'imaginant trop craquante dedans.
Parfois, j'accroche ses dessins sur le frigidaire, devant mon bureau, sur la porte, même si ce ne sont que des traits de feutres pour les autres.
Parfois, son parfum de bébé me fait chavirer.
Parfois, je vais la consoler la nuit quand elle pleure et je la garderais bien avec moi toute la nuit (mais je veux dormir quand même un peu...).
Parfois, je la laisse faire ce qu'elle veut, la discipline viendra bien assez tôt.
Parfois, elle a l'air si grande déjà.
Parfois, c'est aussi mon tout petit bébé.
Parfois, je ne comprends pas ce qu'elle me dit parce qu'elle répète un mot entendu à la radio et je ne vois pas de quoi elle me parle.
Parfois, on va à la bibliothèque, à la piscine, au parc, au supermarché, et je suis fière qu'elle soit ma fille à moi.
Parfois, je repense à ses premiers jours de vie et à ceux qui les ont précédé en suspension.
Parfois, elle est si douce, si empathique, si attentionnée que j'ai peur qu'elle se fasse dévorer.
Parfois, je me laisse aller à ne plus rien penser et à juste profiter d'elle, comme ça, en étant là pour elle.
Parfois, je vole du temps à autre chose pour le passer avec elle.
Parfois, j'ai envie d'écrire pour elle.
Parfois, elle me manque si fort que je ne peux plus arrêter d'y penser.
Parfois, je vois passer ses petits cheveux devant la fenêtre du jardin et j'ai juste envie d'y passer mes doigts.
Parfois, je ramasse un de ses jouets alors qu'elle est couchée et une envie de petit cou tout chaud me monte au cerveau.
Parfois, je me promène et je me dis que cela lui plairait de venir se promener aussi par ici.
Parfois, j'ai très peur pour elle mais j'essaie de vivre avec.
Parfois, elle m'énerve quand je suis fatiguée ou débordée de travail mais elle n'y est pour rien et ne doit pas tout comprendre.
Parfois, je la regarde et je me demande comment elle sera quand elle sera plus grande.
Parfois, je me laisse aller à imaginer ce qu'elle pourra faire plus tard, mais rien ne me vient vraiment, elle choisira elle-même.
Parfois, j'entends son papa qui la gronde parce qu'elle fait des bêtises (elle vide le rouleau de papier toilette là tout de suite) et je souris parce que cela ne dure jamais.
Parfois, ses petits pieds martèlent le plancher au dessus de ma tête et je me dis que je ne me lasserai jamais de ce petit bruit.
Parfois, je me demande si un deuxième enfant serait aussi aimé, s'il aurait une place parmi nous.
Parfois, je range ses jouets le soir et je me dis qu'elle est épuisante quand même mais on ne s'en passerait plus.
Parfois, je lui achète des petits vêtement en l'imaginant trop craquante dedans.
Parfois, j'accroche ses dessins sur le frigidaire, devant mon bureau, sur la porte, même si ce ne sont que des traits de feutres pour les autres.
Parfois, son parfum de bébé me fait chavirer.
Parfois, je vais la consoler la nuit quand elle pleure et je la garderais bien avec moi toute la nuit (mais je veux dormir quand même un peu...).
Parfois, je la laisse faire ce qu'elle veut, la discipline viendra bien assez tôt.
Parfois, elle a l'air si grande déjà.
Parfois, c'est aussi mon tout petit bébé.
Parfois, je ne comprends pas ce qu'elle me dit parce qu'elle répète un mot entendu à la radio et je ne vois pas de quoi elle me parle.
Parfois, on va à la bibliothèque, à la piscine, au parc, au supermarché, et je suis fière qu'elle soit ma fille à moi.
Parfois, je repense à ses premiers jours de vie et à ceux qui les ont précédé en suspension.
Parfois, elle est si douce, si empathique, si attentionnée que j'ai peur qu'elle se fasse dévorer.
Parfois, je me laisse aller à ne plus rien penser et à juste profiter d'elle, comme ça, en étant là pour elle.
Parfois, je vole du temps à autre chose pour le passer avec elle.
Parfois, j'ai envie d'écrire pour elle.
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