Le 20 novembre a lieu chaque année la journée internationale des droits de l’enfant.
C’est une journée importante qui permet de rappeler aux parents comme aux enfants (et à ceux qui n’entrent pas dans ces catégories) que les enfants ne sont pas des objets ou des petites choses dont on peut disposer.
Pour en parler avec ma fille, j’ai sorti le « cahier Filliozat » qui parle justement des droits de l’enfant.
Ces cahiers sont tous vraiment bien faits.
Ils sont construits comme un cahier de jeux où on apprend d’abord de quoi on parle, puis on fait quelques activités et on apprend des moyens à utiliser sur le long terme.
A la fin du cahier, il y a quelques pages pour les parents écrites par Isabelle Filliozat qui donne son nom à la collection.
Si vous ne connaissez pas Isabelle Filliozat, je ne peux que vous encourager à la lire.
Ses livres sont toujours clairs, déculpabilisants et plein de propositions concrètes.
Cela ne veut pas dire que tout est facile, mais on y réfléchit.
Dans ce volume, c’est la même chose.
Les premières pages expliquent aux enfants ce que sont les « droits de l’enfant ».
Simplement, avec des paragraphes courts et des pages avec de grandes illustrations, le jeune lecteur est invité à réfléchir à ce qu’il lit.
Le cahier abord ensuite les notions de consentement, de violence et de respect de son corps qui ont beaucoup interpellé ma fille.
Évidemment, cela parle aussi aux parents.
On ne mesure pas toujours ce que peuvent entraîner certaines petites paroles malheureuses.
Les enfants font ensuite des petites activités qui donnent des techniques pour reconnaître des situations problématiques et surtout pour réagir et les contrer.
Il y a des petits jeux, de l’auto hypnose, et là encore, c’est très bien fait et très utile.
Ce livre me semblait un peu hors propos pour ma fille, je l’avoue, mais cela l’a vraiment intéressé et je ne peux que le conseiller, comme tous les titres de cette collection !
C’est une journée importante qui permet de rappeler aux parents comme aux enfants (et à ceux qui n’entrent pas dans ces catégories) que les enfants ne sont pas des objets ou des petites choses dont on peut disposer.
Pour en parler avec ma fille, j’ai sorti le « cahier Filliozat » qui parle justement des droits de l’enfant.
Ces cahiers sont tous vraiment bien faits.
Ils sont construits comme un cahier de jeux où on apprend d’abord de quoi on parle, puis on fait quelques activités et on apprend des moyens à utiliser sur le long terme.
A la fin du cahier, il y a quelques pages pour les parents écrites par Isabelle Filliozat qui donne son nom à la collection.
Si vous ne connaissez pas Isabelle Filliozat, je ne peux que vous encourager à la lire.
Ses livres sont toujours clairs, déculpabilisants et plein de propositions concrètes.
Cela ne veut pas dire que tout est facile, mais on y réfléchit.
Dans ce volume, c’est la même chose.
Les premières pages expliquent aux enfants ce que sont les « droits de l’enfant ».
Simplement, avec des paragraphes courts et des pages avec de grandes illustrations, le jeune lecteur est invité à réfléchir à ce qu’il lit.
Le cahier abord ensuite les notions de consentement, de violence et de respect de son corps qui ont beaucoup interpellé ma fille.
Évidemment, cela parle aussi aux parents.
On ne mesure pas toujours ce que peuvent entraîner certaines petites paroles malheureuses.
Les enfants font ensuite des petites activités qui donnent des techniques pour reconnaître des situations problématiques et surtout pour réagir et les contrer.
Il y a des petits jeux, de l’auto hypnose, et là encore, c’est très bien fait et très utile.
Ce livre me semblait un peu hors propos pour ma fille, je l’avoue, mais cela l’a vraiment intéressé et je ne peux que le conseiller, comme tous les titres de cette collection !
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