Je n'aime pas les fins d'année.
Cela fait une bonne vingtaine d'années, mais avec les enfants, je crois que c'est pire.
Je me dis parfois que les fêtes de Noël ont été inventées pour faire passer la pilule de l'année qui finit.
On s'étourdit, on oublie, on se réjouit des repas de fêtes, des surprises, des bons moments.
Mais le 31 décembre arrive tout de même.
On pourrait penser que la fin de l'année est une étape symbolique qui ne devrait pas nous influencer beaucoup.Pourtant,
je ne peux pas m'empêcher de vouloir clore tout ce qui doit l'être, de
ranger ma maison, de faire ce qui est en attente depuis des mois.
Comme les Asiatiques pour leur nouvel an, j'ai besoin que les choses soient en ordre, que le grand ménage soit fait et le travail achevé.
Et évidemment, je m'épuise à vouloir tout mener de front et c'est encore plus difficile à supporter 😆
Avec les enfants, j'ai également davantage conscience des années qui passent, du temps qui file, de la vie qui est courte, tout ça tout ça.
C'est un moment de joie pour eux et j'aime vraiment beaucoup tout préparer, voir leurs yeux qui brillent, l'excitation qui monte.
Mais je ne peux pas m'empêcher d'y penser.
Et puis c'est une période de souvenirs de deuils pour moi.
Alors je mets des lumières partout, j'ai une dizaine de petites guirlandes à led, c'est plus gai.
On décore les fenêtres, on s'étourdit de chants de Noël, de balades, de tours dans les magasins.
Je fais des listes de cadeaux, je pars en quête de présents pour tout le monde.
J'essaie de penser à autre chose et la plupart du temps, ça marche.
Et puis le premier janvier arrive enfin, comme une respiration, le moment de souffler et tant pis pour ce qui n'a pas été terminé, ce qui ne sera plus et ce qui nous fait défaut.
Je repars vers autre chose dès les premières heures de l'année, laissant là la nostalgie et les mauvais souvenirs pour me tourner vers ce qui est à venir ! Une énergie nouvelle, qui vient de je ne sais où me pousse à avancer et c'est très bien comme ça.
Cela fait une bonne vingtaine d'années, mais avec les enfants, je crois que c'est pire.
Je me dis parfois que les fêtes de Noël ont été inventées pour faire passer la pilule de l'année qui finit.
On s'étourdit, on oublie, on se réjouit des repas de fêtes, des surprises, des bons moments.
Mais le 31 décembre arrive tout de même.
Comme les Asiatiques pour leur nouvel an, j'ai besoin que les choses soient en ordre, que le grand ménage soit fait et le travail achevé.
Et évidemment, je m'épuise à vouloir tout mener de front et c'est encore plus difficile à supporter 😆
Avec les enfants, j'ai également davantage conscience des années qui passent, du temps qui file, de la vie qui est courte, tout ça tout ça.
C'est un moment de joie pour eux et j'aime vraiment beaucoup tout préparer, voir leurs yeux qui brillent, l'excitation qui monte.
Mais je ne peux pas m'empêcher d'y penser.
Et puis c'est une période de souvenirs de deuils pour moi.
Alors je mets des lumières partout, j'ai une dizaine de petites guirlandes à led, c'est plus gai.
On décore les fenêtres, on s'étourdit de chants de Noël, de balades, de tours dans les magasins.
Je fais des listes de cadeaux, je pars en quête de présents pour tout le monde.
J'essaie de penser à autre chose et la plupart du temps, ça marche.
Et puis le premier janvier arrive enfin, comme une respiration, le moment de souffler et tant pis pour ce qui n'a pas été terminé, ce qui ne sera plus et ce qui nous fait défaut.
Je repars vers autre chose dès les premières heures de l'année, laissant là la nostalgie et les mauvais souvenirs pour me tourner vers ce qui est à venir ! Une énergie nouvelle, qui vient de je ne sais où me pousse à avancer et c'est très bien comme ça.
Et vous ? ça vous chagrine les années qui finissent ou cela vous est égal ?
J'aime beaucoup Noël mais comme toi, beaucoup moins les debuts d'année. Je n'aime pas faire de bilans et la nouvelle année me pousse toujours à me demander ce qu'elle va me réserver et à me dire que si ça se trouve, ce sera la dernière ! (Bon heureusement ça ne dure pas ! )
RépondreSupprimer